Si elle cherche l'affrontement, la direction du Cégep de Sherbrooke trouvera ses enseignants sur son chemin, avertit le président du conseil central de la CSN en Estrie, Jean Lacharité.
[Sur la photo: Jean Lacharité, président de la CSN-Estrie]

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Une coupure salariale sera faite sur la paie que recevront les enseignants du Cégep de Sherbrooke. Jugeant que le piquetage exercé le 4 mai dernier enfreint le Code du travail, la direction de l'établissement a décidé de procéder à cette coupe équivalente à 10 minutes de leur salaire.

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Le personnel enseignant du cégep de Sherbrooke a participé à une activité de visibilité le 4 mai. Le travail des membres du comité de mobilisation en soutien au comité exécutif syndical a permis de mobiliser un nombre considérable d’enseignantes et d’enseignants.

Plusieurs membres de la CSN-ESTRIE sont venus appuyer les enseignantes et les enseignants, y compris le président du conseil central, Jean Lacharité. Notons aussi la participation du président de la FNEEQ-CSN, Jean Trudelle, qui s’est déplacé de Montréal pour soutenir notre activité : «la fédération appuie votre action et s’en inspire pour les moyens de pression à venir» a souligné ce dernier.

Le personnel enseignant a envoyé un message clair à la direction du cégep et est déterminé à poursuivre ses actions pour obtenir une convention satisfaisante et signée afin de maintenir un enseignement de qualité.

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Comme promis, les enseignants du Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS) ont exercé des moyens de pression, tôt mardi matin devant les portes de l'institution collégiale.

Ils veulent donner un aperçu de ce qui pourrait arriver cet automne s'il n'y a pas d'entente avec l'employeur. Les professeurs manifesteront entre 7 h 45 et 8 h 40, retardant ainsi le début des cours d'une dizaine de minutes. Les syndiqués dénoncent les conditions de travail, le manque de ressources et l'accroissement de la précarité. Leur convention collective est échue depuis la fin du mois de mars.

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Les étudiants du Cégep de Sherbrooke se heurteront à des piquets de grève, mardi matin. Las de la lenteur des négociations, les enseignants du Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS) ont décidé de donner un aperçu de ce que pourrait être l'automne prochain s'ils n'obtiennent pas une entente satisfaisante du gouvernement.

En parlant publiquement de son homosexualité, la médaillée olympique Sarah Vaillancourt souhaite aider les jeunes qui aimeraient sortir du placard et se libérer d'un grand secret. Si la Sherbrookoise de 24 ans n'a jamais caché son orientation sexuelle, c'est la première fois qu'elle en parlait publiquement, hier, dans le cadre d'une table ronde sur l'homophobie dans le sport, organisée au Cégep de Sherbrooke.

Le Cégep de Sherbrooke tient une série d'activités dans le cadre de la Semaine de lutte contre l'homophobie qui se déroule jusqu'à vendredi. Le thème de cette année: «Parler du silence; l'homophobie dans le monde du sport» est aussi celui de la Journée internationale contre l'homophobie du 17 mai prochain.

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Depuis la lecture du budget, la plupart des commentaires ont porté sur la façon inéquitable retenue par le gouvernement Charest d'augmenter ses revenus. Or le vrai défi, c'est celui des dépenses, tant dans les grands réseaux qu'au sein des sociétés d'État où les privilèges font partie de la culture d'entreprise.

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Frustrées par la lenteur des négociations dans les secteurs public et parapublic, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté bruyamment leur mécontentement dans les rues du centre-ville de Montréal samedi après-midi, à quelques jours de l'échéance des conventions collectives.

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Le conflit au Journal de Montréal, en lock-out depuis janvier 2009, a eu des échos jusqu'à Sherbrooke vendredi matin. Le député Étienne-Alexis Boucher et le Syndicat des employés du restaurant Au Roi du Coq Rôti, eux aussi en lock-out, ont trouvé des similitudes entre les deux conflits.

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On a bien raison de répéter que ce n'est jamais le temps pour les employés des secteurs public et parapublic de réclamer une amélioration de leur salaire et de leurs conditions de travail. De nos jours, c'est le lourd déficit anticipé qui sert de motif au gouvernement pour offrir des augmentations dérisoires: 7 % pour les cinq prochaines années, alors que l'inflation atteindra probablement 11 %.

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Rien ne va plus dans les négociations du secteur public. À deux semaines de l'échéance fixée par les parties, le blocage est total, a appris Le Soleil. Les leaders du Front commun intersyndical lanceront d'ailleurs aujourd'hui même un appel à la présidente du Conseil du trésor pour qu'elle intervienne.

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Dans les négociations nationales qui s'amorcent, les «offres» patronales aux enseignants des commissions scolaires suivent une logique comptable: l'éducation va mal, augmentons la tâche des enseignants (qui sont surtout des enseignantes), et l'éducation ira mieux. Techniquement, il s'agit de mettre fin aux heures de travail personnel sur les lieux de travail. Les patrons voudraient les récupérer, autrement dit les administrer, en dictant le contenu de chacune des minutes des douze heures que l'enseignant concède à son établissement, en sus de ses vingt heures de classe. Finies la correction, la préparation de cours sur place! Les temps sont aux réunions, au perfectionnement et à l'organisation d'activités!

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La figure du professeur a longtemps habité l'imaginaire des Québécois. On a tous en tête l'image de ces femmes obstinées et solitaires vouant leur vie à l'éducation et dont le courage et la passion étaient magnifiés par le désolant spectacle de lacampagne endeuillée par les rigueurs de l'hiver.

On se souvient tout aussi... [Lire la suite]

SHERBROOKE - Alors que les élèves de secondaire cinq déposent à la poste leur demande d'admission au cégep, ces jours-ci, leurs enseignants s'inquiètent. C'est que la réforme de l'éducation s'applique pour une première fois à la fin du secondaire et que l'évaluation par compétences, selon eux, pourrait brouiller les cartes.
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L'école est en crise. On apprenait il y a quelques semaines que les Québécois fréquentaient moins l'université que les Ontariens. Cette inquiétante statistique s'ajoute à une longue série de nouvelles indiquant chaque fois la faillite de nos établissements scolaires. Qu'il suffise d'évoquer le décrochage scolaire, le manque de maîtrise du français de la part des étudiants, la faiblesse de la formation des professeurs, la difficulté de financer adéquatement le système d'éducation, l'incapacité de l'école à intégrer l'immigration, l'abandon de la profession par les jeunes professeurs, la perte de repères historiques chez les jeunes. Bref, l'école qui devait être la solution aux maux de notre société en est aujourd'hui un des principaux problèmes.
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Dans les suites de la recommandation adoptée par le congrès fédéral spécial de novembre en appui à une réforme du mode de scrutin, à savoir: «Que la FNEEQ appuie la campagne compte à rebours du Mouvement pour une démocratie nouvelle en vue d’obtenir un projet de loi satisfaisant sur la réforme du mode de scrutin d’ici juin 2010, et invite ses syndicats à faire de même», nous vous transférons ci-dessous un nouveau courriel en provenance de cet organisme.
[Le communiqué au complet]

SHERBROOKE - Les travailleurs estriens des services publics de l'État gardent confiance d'en arriver à une solution négociée avec le gouvernement pour le renouvellement de leurs conventions collectives, même si la crainte de se voir imposer un décret demeure.
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SHERBROOKE - Environ 23% des enseignants ont l'intention de quitter leur travail d'ici cinq ans, révèle une étude réalisée par une professeure de l'École nationale d'administration publique (ENAP). Selon cette recherche, près de la moitié du corps enseignant vit de l'anxiété.
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Lors de la dernière séance du conseil municipal de Sherbrooke, le 1^er février, j'ai été grandement choquée de voir la façon dont les élus, particulièrement le président du conseil, Serge Paquin, ont reçu les commentaires des citoyens, précisément ceux des étudiants qui sont venus témoigner de leurs difficultés, lors de la période de questions.
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SHERBROOKE - Des enseignants du Cégep de Sherbrooke viennent de remporter le prix «Sceptique 2009» pour leur opposition à la présentation d'une conférence sur le créationnisme dans les murs de l'établissement, le printemps dernier. Le prix leur a été remis par les Sceptiques du Québec, dont le principal objectif est de promouvoir la pensée critique et la rigueur scientifique.
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SHERBROOKE - Après trois mois de pourparlers, une entente a finalement été conclue entre le Cégep de Sherbrooke et Sylvain Saint-Cyr relativement au départ de l'ancien directeur général. Cette entente coûtera environ 312000$ à l'institution scolaire, mais la protège de toutes autres poursuites.
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