Articles parus du 24 au 31 mai 2012.

Articles parus du 15 au 23 mai 2012.

Articles parus du 9 au 14 mai 2012.

La violence et l’exaspération des derniers jours, découlant directement de l’inertie du gouvernement et d’une succession d’injonctions dans les établissements scolaires, ont donné lieu à toutes sortes de critiques adressées aux professeurs qui se sont prononcés contre la hausse des droits de scolarité. Si le professeur Jean Barbeau (La Presse, «Un devoir de réserve », 3 mai 2012) et la chroniqueuse Denise Bombardier (Le Devoir, «Fin de partie », 5 mai 2012) s’entendent tous deux pour dire que les professeurs ont un «devoir de réserve» dans le conflit étudiant, les professeurs signataires de ce texte défendent le point de vue inverse, à partir d’une expérience et d’une conception de l’enseignement qui ne peut pas dissocier l’éducation et le politique....

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Articles parus du 3 au 8 mai 2012.

Articles parus le 3 mai 2012.

Le système d'éducation est pris en otage. Partout au Québec, on essaie de dresser les étudiantEs contre les contribuables, les administrations contre les grévistes, les professeur-REs contre les piqueteurs, le droit contre la démocratie...
[Signatures en ligne]

Articles parus du 27 avril au 2 mai 2012.

Le Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS-CSN) annonce que plus de 75 enseignantes et enseignants du Cégep tiennent aujourd'hui, sur une base volontaire, une grève de salaire...

Articles parus le 26 avril 2012.

Articles parus du 21 au 25 avril 2012.

Articles parus du 14 au 20 avril 2012.

Articles parus le 13 avril 2012.

Articles parus les 11 et 12 avril 2012.

Articles parus entre le 5 avril et le 10 avril 2012.

Articles parus entre le 29 mars et le 4 avril 2012.

Articles parus entre le 21 et le 28 mars 2012.

Le président-directeur général de la Fédération des cégeps en a assez des commentateurs qui «infantilisent» les étudiants québécois en laissant entendre qu'ils ne comprennent pas les enjeux de leur grève ou qu'ils sont manipulés par leurs représentants....

En tant que ministre des Finances aux multiples diplômes universitaires (licence en droit, maîtrise et doctorat de la Harvard Graduate School of Business Administration), vous êtes vraiment bien placé pour comprendre à quel point la formation universitaire de nos étudiants est une «richesse» pour la société québécoise...

Le Service de police de la Ville de Montréal n’a pas assez d’intimider nos étudiants et nos étudiantes, il faut en plus qu’il se mouille dans le plus éhonté des mensonges...

Depuis le début des revendications étudiants contre la hausse des droits de scolarité, le carré rouge est de toutes les manifestations. Hier, ce petit morceau de feutre écarlate s'est fait plusieurs alliés. Présents, en très grand nombre lors de la marche jusqu'aux bureaux du ministère de l'Éducation...

Articles parus entre le 9 et le 15 mars 2012.

À la suite de la manifestation tenue hier à Québec contre la hausse des droits de scolarité, la Fédération nationale des enseignantes et des enseignants du Québec (FNEEQ-CSN) déplore l'utilisation de gaz lacrymogènes et de poivre de Cayenne faite par les forces policières.

Des milliers d'étudiants sont attendus à Québec pour dénoncer de nouveau la hausse des droits de scolarité annoncée dans le dernier budget québécois.

Près de 2000 étudiants du Cégep de Sherbrooke ont voté sur une nouvelle proposition de grève, mercredi. Dans une proportion de 62 %, ils ont voté pour la tenue d'une grève de trois jours, reconductible.

Bien malin celui qui aurait pu prédire, mercredi, le résultat du vote au Cégep de Sherbrooke: les avis étaient visiblement très partagés. Les étudiants ont finalement dit oui à 62 % à une grève générale reconductible de trois jours, qui commence ce jeudi matin..

La ministre de l'Éducation incite les enseignants à franchir les piquets de grève des associations étudiantes, sous prétexte que cela les fera réfléchir. Un tel mépris pour la capacité d'une pensée critique chez les étudiants, mais aussi des professeurs qui respectent la mission des cégeps, c'est-à-dire de former des citoyens responsables, ne peut nous surprendre.

On demande aux étudiants universitaires de payer 265 millions $ de plus en 2016-2017. On les traite d'enfants gâtés, de privilégiés, saignant la classe moyenne.

Pendant ce temps, Québec donne...

Un avis transmis aux directions des cégeps par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport leur demande d’exiger de leurs enseignantes et enseignants qu’ils franchissent les piquets de grève et qu’ils donnent leurs cours malgré une grève des étudiantes et des étudiants

Le président du Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS), Steve McKay, trouve carrément «machiavélique» l'avis envoyé par le ministère de l'Éducation aux cégeps, qui suggère de poursuivre la formation pendant la grève des étudiants.

Une lettre envoyée par le bureau de la sous-ministre à l'Éducation aux directeurs des cégeps provoque de vives réactions autant du côté des étudiants que des enseignants.

Nous voulons aujourd’hui faire connaître notre position sur la décision du gouvernement québécois d’autoriser une hausse de 1 625 $ des droits de scolarité du premier cycle universitaire qui s’échelonnerait sur les cinq prochaines années.

Les déclarations du chef de la Coalition avenir Québec, François Legault, lors de son premier grand rassemblement partisan, laissent croire que les ambitions du nouveau parti politique sont immenses.

Alors que les conservateurs affirment qu’ils doivent modifier le programme de la Sécurité de la vieillesse pour assurer sa pérennité, le directeur parlementaire du budget est venu contester cet argument brandi depuis deux semaines par le gouvernement.

En cette période d'effervescence préélectorale et d'hostilités entre la Coalition avenir Québec (CAQ) et les centrales syndicales, Jean Charest a en poche une bonne nouvelle pour les syndiqués du secteur public.

Une loi spéciale avait été adoptée pour imposer les salaires au secteur public en 2005

La Commission des relations du travail blâme le gouvernement du Québec pour avoir négocié de mauvaise foi, du moins pour les salaires, lors de la série de négociations du secteur public de 2005, dans laquelle il avait notamment inclus l'équité salariale. Il avait alors adopté une loi spéciale pour imposer les salaires.

Les régimes de retraite sont actuellement accusés de tous les maux. Ils sont ciblés par plusieurs comme étant une des causes liées aux difficultés rencontrées par certaines entreprises et par le gouvernement. Rien d'étonnant alors de voir des gens prendre la parole publiquement pour réclamer des changements majeurs à ceux-ci. C'est d'ailleurs ce qu'a proposé Mme Hélène Dauphinais, économiste et enseignante au cégep de Sherbrooke dans vos pages samedi dernier (La Presse le samedi 14 janvier). Cependant, afin de pouvoir avancer des solutions intéressantes et porteuses, il est important d'avoir une connaissance juste des faits et de la situation.

Les régimes de retraite à prestations déterminées sont présentement sous les feux de la rampe en raison des importants déficits qu'il affichent depuis plusieurs années déjà.

Dans le cas des régimes publics (fédéral, provincial, municipal ou scolaire), il faut se demander à qui il revient de porter ce fardeau financier.

Au nombre d'enseignants précaires qu'il y a toujours dans les cégeps et les universités, il est étonnant qu'il n'y ait pas eu, depuis les 35-40 ans que ce fourbe concept étrangle l'enseignement supérieur, de retour sur sa nature et son existence même. Je veux dire qu'il est peut-être temps de le saigner, ce gros cochon de la machine néolibérale.

Pour convaincre Bruxelles du bien-fondé d’un accord économique Canada-Europe, Ottawa a voulu stimuler l’appétit des sociétés européennes avec les alléchants contrats publics de tout le pays

Quelque 150 étudiants ont manifesté samedi devant les bureaux du premier ministre Jean Charest, à Sherbrooke, pour dénoncer l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste.

À l'image de l'Université de Sherbrooke avec l'Estudiantine, le Cégep de Sherbrooke pourrait bien avoir sa propre coopérative d'habitation.

L'Institut de coopération pour l'éducation des adultes (ICEA) célèbre cette année son 65^e anniversaire. La contribution de l'ICEA à la valorisation de l'éducation et de la formation des adultes au Québec depuis la fin de la dernière guerre est bien connue. L'Institut a été de tous les combats pour faire reconnaître le droit et la nécessité d'apprendre tout au long de la vie.

Les questions d'éducation occuperont une place de plus en plus importante dans les débats sur l'avenir économique de nos sociétés.

Au moment de rédiger sa recommandation, le conciliateur Jean Poirier n'a pu contourner la résolution inflexible des frères Perreault, propriétaires du Roi du coq rôti: pas de livraison, ou alors, pas de convention.

Autres informations:
Le Devoir: Fin d'un long conflit au Roi du Coq rôti
Communiqué de presse de la CSN: Fin du lock out au Roi du coq rôti

62% à 38 % ! C’est par ce verdict sans appel que la population de l’Ohio a rejeté, lors d’un référendum, la législation anti-ouvrière du gouverneur républicain John R. Kasich. Il s’agit là d’une immense victoire syndicale, non seulement pour les travailleuses et les travailleurs de l’Ohio, mais également pour celles et ceux du Wisconsin, du Michigan, de l’Indiana et de l’ensemble des États américains qui ont été ciblés par le Tea Party et les riches financiers qui tirent en coulisses les ficelles de cette offensive antisyndicale sans précédent.

Une enseignante du Cégep de Sherbrooke se retrouve dans l'eau chaude après avoir offert des cours privés à ses étudiants plutôt que de se montrer disponible pour répondre à leurs questions. Choqués, des enseignants ont dénoncé la situation à La Tribune. L'institution indique pour sa part qu'un seul étudiant est concerné par cette affaire et qu'il a été remboursé.

Le Plan de mobilité durable (PMD) de Sherbrooke a tenu la route, jeudi soir, lors d'une dernière séance de consultation publique toutefois monopolisée par les préoccupations des cyclistes.

En assemblée générale hier, les infirmières ont voté en faveur d'une formation universitaire obligatoire. Cette proposition de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec (OIIQ) soulève la consternation dans les cégeps.

François Legault jure que jamais, au grand jamais, il n'a touché à la drogue. Il n'a jamais tenu un joint entre ses blanches mains. Et il a fait son cégep en deux ans. Lui. Un parcours sans faute, sans retard. Un élève modèle.

Craignant de devoir couper dans les services aux élèves, les quatre cégeps francophones de la région métropolitaine de Québec se sont unis, lundi, pour dénoncer les compressions de 20 millions $ que le gouvernement s'apprête à imposer dans les collèges québécois.

Alors qu'il a dû adopter un budget déficitaire le printemps dernier, le Cégep de Sherbrooke devra faire face à des compressions budgétaires de l'ordre de 600 000 $.

L'annonce, la semaine dernière, d'une compression budgétaire de près de 30M$ au réseau collégial public est en totale contradiction avec le discours gouvernemental selon lequel l'éducation est la priorité.

Le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études s'inquiète des effets négatifs possibles de la hausse des frais de scolarité sur l'accès aux études universitaires, mais ne remet pas en question la majoration de 325 $ par année des droits de scolarité pendant cinq ans, décrétée par Québec.

Évaluer les enseignants dans le but de les contrôler serait passer complètement à côté des bienfaits d'un modèle de supervision destiné à stimuler les troupes. Pour cela, le réseau francophone doit opérer un véritable changement de culture totalement absent de la proposition Legault.

La recette Legault, qui évoque l'idée d'octroyer des incitatifs salariaux aux enseignants, est déjà en cours d'implantation dans les commissions scolaires anglophones du Québec, a constaté Le Devoir. Lors des dernières négociations, le ministère de l'Éducation a donné son aval à un programme de reconnaissance de la valeur ajoutée qui permet aux enseignants de cumuler jusqu'à 16 % de leur salaire en primes.

Des compressions de près de 200 millions de dollars auraient été exigées par le Conseil du Trésor au ministère de l’Éducation, a appris Le Devoir. Selon nos informations, le ministère écoperait du plus grand effort à faire (77 millions), suivi des commissions scolaires (environ 66 millions) et des cégeps (30 millions).

Les 13 employés récemment syndiqués du Couche-Tard situé à l'angle des rues Jean-Talon et d'Iberville se retrouvent sans travail. Ils ont appris la nouvelle à 17h30 par des gardiens de sécurité et des représentants de la chaîne de dépanneurs qui leur ont accordé deux minutes pour ramasser leurs effets personnels et quitter les lieux.

La présidence du Conseil central des syndicats nationaux de l'Estrie (CSN) vient d'être confiée à Denis Beaudin qui avait été appelé en relève lors du départ de Jean Lacharité, en mai dernier.

L'Institut économique de Montréal y voit un outil de motivation, mais «qu'est-ce que le mérite?», rétorque un spécialiste de l'évaluation des apprentissages.

Le débat sur l'évaluation des enseignants lancé par la coalition de M. François Legault s'est enfermé dans un cul-de-sac. C'était fatal: il en a fait une affaire de «performance» qu'il a liée au surplus à la rémunération. Or, l'évaluation est une question professionnelle qui doit être et peut être résolue par et pour les professionnels.

Le président de la CSN, Louis Roy, estime que les travailleurs ne s'informent pas suffisamment au sujet des dépenses engagées par leur syndicat, et qu'ils ont une perception négative à leur endroit parce que les médias les dénigrent constamment.

Malgré les critiques cons-tantes et les promesses de modération, la proportion d'argent public investie dans la gestion des écoles a continué de croître plus rapidement que les fonds injectés dans les services aux élèves depuis 2005, selon de nouvelles données du ministère de l'Éducation.

Malgré les critiques cons-tantes et les promesses de modération, la proportion d'argent public investie dans la gestion des écoles a continué de croître plus rapidement que les fonds injectés dans les services aux élèves depuis 2005, selon de nouvelles données du ministère de l'Éducation.

Une vingtaine de lock-outés du Roi du Coq rôti sont débarqués devant la résidence cossue de l'un de leurs patrons, jeudi matin, une journée avant la reprise de la conciliation. «Le conflit a assez duré», ont-ils livré comme message, armés d'un micro et d'un amplificateur pour bien se faire comprendre de leur employeur.

Les employés en lock-out du Roi du coq rôti ont manifesté jeudi devant la résidence de l'un des propriétaires de la rôtisserie sherbrookoise.

«On ne peut pas développer une offre de formation de qualité en jouant au yo-yo», affirme le nouveau p.-d.g. de la Fédération des cégeps.

«On ne peut pas développer une offre de formation de qualité en jouant au yo-yo», affirme le nouveau p.-d.g. de la Fédération des cégeps.

Pour que les garçons réussissent à l'école, l'accent doit être mis sur l'apprentissage du français. C'est ce qu'a soutenu hier en conférence de presse la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) tout en appelant le gouvernement à élaborer conjointement avec elle un plan d'action pour régler ce problème.

Pour que les garçons réussissent à l'école, l'accent doit être mis sur l'apprentissage du français. C'est ce qu'a soutenu hier en conférence de presse la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) tout en appelant le gouvernement à élaborer conjointement avec elle un plan d'action pour régler ce problème.

La Tribune informe les décideurs de demain.

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Les employés du Roi du Coq rôti souligneront mardi la troisième année du lock-out décrété par les frères Perreault. Un bien triste anniversaire pour eux.

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« On n'est pas là pour parler des frères Perreault. On est là pour célébrer trois années de solidarité. Il y a eu des hauts et des bas mais les hauts sont plus nombreux. Nous avons pu rencontrer des gens extraordinaires. Il y a des aspects positifs dans ce conflit et nous ne lâcherons pas. »

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